
Au début, vous aviez décidé de vous venger en faisant quelques crasses à certains surveillants mais c'est devenu plutôt drôle. A chaque fois vous rejetiez la faute sur les autres. Vous faisiez de temps en temps un truc qu'il ne fallait pas faire pour être collés puis c'est devenu une habitude.
A tel point que vous avez carrément installé un plan d'attaque : Louis imagine les conneries à faire, toi, tu assurer vos arrières en trouvant la bonne personne sur qui rejetait la faute et à deux vous faites la connerie.
Puis bien malgré toi, tu as commencé à développer des sentiments pour lui. Tu ne lui dis pas car lui sort déjà avec une jeune fille super gentille ; Eleanor Calder. Depuis cette année, vous commencez à vous parler en dehors des heures de colle et quand tu te fais embêter par n'importe qui, il vient te défendre Même une fois, il a tenu tête à l'un de ses meilleurs ami.
Demain c'est mercredi tu vas revoir Louis. Une pointe d'excitation se logea dans ton corps et toute la nuit, tu te demandais ce qu'avait prévu Louis. Le lendemain après-midi, tu retrouves Louis en salle de colle
-Toi: Hey! Alors, on fait quoi aujourd'hui ?
-Louis- triste- : Salut... désolé j'ai oublié
-Toi : Ce n'est pas grave ! Mais tu as mauvaise mine aujourd'hui ! Qu'est-ce qui se passe ?
-Louis: Eleanor et moi ne sommes plus ensemble...
-Toi-le coupant- Oh je suis tellement désolé pour toi...
-Louis- te coupant- : Ce n'est pas ça le pire...
-Toi : Mais tu n'aimais pas Eleanor ?
-Louis : Si mais comme ma s½ur nous sommes amis maintenant... et puis j'aime une autre personne...–petit sourire-
-Toi : Ah d'accord... -déçu- ...mais alors qu'est-ce qui te met dans des états pareils ?
-Louis : Il y a 2 heures, j'ai reçu un appel de l'hôpital me disant que mes parents ont eu un accident de voiture
-Toi : Oh merde ! Mais comment ils vont ?
-Louis : Mon père va bien mais sous le choc alors ils lui ont injecté des médicaments pour l'endormir mais ma mère, elle est passée par le pare-brise et elle est au bloc-opératoire
-Toi : Oh mon dieu...
Tu ne terminas pas ta phrase car tu voyais quelques larmes sur les joues de Louis. Tu le pris dans tes bras. Tu sentis que les larmes de celui-ci se faisaient plus abondantes. Tu resserras ton étreinte et lui fit de même de sorte que tu ne laisses jamais. Il nicha sa tête dans ton cou et tu lui fis un baiser sur le front qui se voulait rassurant.
-Louis-entre deux sanglot- : Merci d'être là
-Toi : De rien ! Mais pourquoi tu ne vas pas les voir ?
-Louis : Le surveillant ne veut pas me laisser sortir.
-Toi : QUOI ?! Mais je t'assure qu'on va sortir !
-Louis-petit sourire- : On ?
-Toi : Oui à moins que tu ne veuille pas que je t'accompagne ?
-Louis : Non au contraire ça me fait plaisir !
Tu lui souri, il te prit la main ce qui te fais sauter de joie intérieurement. Vous arrivez à la hauteur de la sortie. Mais le pion ne vous laisse pas sortir donc tu lui expliquas calmement la situation et il te répondit : « Si c'est encore une de vos blagues puérile laissez tomber et RETOURNEZ VOUS ASSOIR ! »
Tant pis pour la manière douce et gentille, tu serras bien fort la main de Louis et commenças à courir. Le surveillant tenta de vous rattraper mais n'y arriva pas. Il étaient bien plus lent que vous. Le sport étaient la seule matière où tu excellais donc voilà.
Arrivés à l'hôpital tout essoufflés, vous vous dirigez vers la chambre de son père. Tu laisses Louis y aller seul. Pendant ce temps, tu ressues un appel de ta mère disant que comme tu n'étais finalement plus en heure de colle qu'il fallait que tu rentres immédiatement chez toi pour garder ton petit frère et ta petite s½ur pendant 2 heures les temps d'aller chercher ton père à l'aéroport qui revient d'un voyage d'affaire.
Tu n'allais pas te prendre un savon par tes parents car tu tétais enfuie avec Louis du lycée car ils étaient très cool là-dessus.
Tu laissais un petit mot dans la veste de Louis, qui était resté à côté de toi, pour le prévenir. Tu avais marqué dessus : « Ma mère m'a appelé pour me dire de rentré chez moi pour garder mes frères et s½ur. Je reviendrais peut-être ce soir mais ce n'est pas sûr. Je sais que ce n'est pas trop le bon moment pour te le dire mais... je t'aime.* ton prénom* » tu hésitas pour la dernière phrase mais après tout, tu n'as rien à perdre. Tu sorti de l'hôpital et appela un taxi pour rentrer chez toi. Arrivés à la maison, tu vis ta mère en coup de vent car elle était en retard et qu'il y avait des bouchons. Ta s½ur et ton frère font la sieste tu vas pouvoir être tranquille pour réfléchir à «ce maudit papier que je n'aurais jamais dû mettre dans cette veste ! » pensas-tu. Tu finis par t'assoupir.
ELLYPSE DE APRÈS-MIDI
Tu te posais pleins de questions : Est-ce qu'il a vu le mot ? Si non, est-ce qu'il t'en veut d'être parti ou est-ce qu'il s'en fichait complétement ? Si oui, est-ce qu'il a les mêmes sentiments que toi ? Allait-il te rejeter et se moquer de toi ou au contraire t'embrasser et te dire qu'il t'aime ? Mais la plus importante question reste quand même : Comment va la maman de Louis ?
Quand tu arrivas dans la chambre, il n'y avait qu'un simple lit avec des draps blancs. Personne, il n'y avait personne. Tu commenças à angoisser plus que tu ne le faisais déjà. Qu'est-ce qui c'était passer pendant ton absence ? Où est Louis ?
Tu sentis deux bras musclés t'entourer la taille, tu reconnus son odeur, c'était Louis. Un petit sourire se dessina sur ton visage. Il embrassa ton cou, tu eus des frissons. Tu sentis Louis sourire contre ta peau. Tu te tournas vers lui et le regarda yeux dans les yeux. Dans ses prunelles on pouvait voir de la joie. Tu espérais que c'était pour toi mais aussi parce que ses parents allaient bien. Il resserra son étreinte autour de ta taille et te déposa un chaste baiser sur tes lèvres. Cela déclencha en toi un milliard de petits papillons dans le ventre. Tu l'aimais. Et il te dit :
-Louis : Je t'aime
Il t'embrassa mais cette fois ci en demandant l'accès à ta langue que tu ne lui refusas pas. Tu frissonnais tellement il te faisait de l'effet.
-Louis- sourire de charmeur- : Je te fais de l'effet !
-Toi-rougissant- : Mais euh... oui-baissant la tête-
-Louis: Ne sois pas gêner ! On est ensemble maintenant !
-Toi : On est ensemble ?!
- Louis : Bah oui ce n'est pas ce que tu voulais ? Si tu voulais pas fallait pas mettre ce papier parce que tu m'as fait espérer pour ri...
Tu le coupes en l'embrassant tendrement. Mais bien sûr que tu voulais être avec lui!
-Louis : Ah je préfère ça!
-Toi-esquissant un sourire- : Je suis tellement contente ! Et au fait comment vont tes parents ?
-Louis : Mon père va bien et ma mère aussi sauf qu'elle aura un peu de mal à se remettre à marcher normalement...
-Toi : Oh mince... mais ça aurait pu être pire
-Louis : Oui c'est vrai. Tu veux que je te présente mes parents ; ils sont impatients de savoir qui est la fille avec qui je passe toutes mes après-midi en heure de colle!
Et vous partez dans un fou rire !
Ses parents t'avaient bien accepté. Ils étaient très gentils! Maintenant votre couple est plus fort que jamais. Tu es même allaient habités chez Louis et ses parents jusqu'à ce que, toi et ton homme, vous vous mettiez en ménage.
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i-roquoi, Posté le samedi 27 avril 2013 08:27
jadore un peu triste mai ca va sa sarange a la fin! et tinquiete pas la longueur est parfaite comme ca!!!!!